
Le Brexit a poussé les Britanniques à mettre fin à 28% de leurs projets immobiliers dans la zone euro mais à accéléré d’autant leurs projets en France (23%).
Si le Brexit a un impact incontestable sur les Britanniques achetant de l’immobilier en euros, et particulièrement pour ceux qui perçoivent une retraite en livres, ces conséquences ne se perçoivent pas encore de manière très sensible sur le marché global.
Si l’Espagne faisait le plus rêver les acheteurs britanniques , la France est n°2 (28%), loin devant l’Italie. Ils restent aussi les premiers acheteurs étrangers, puisqu’ils y réalisent 32% des transactions. À Paris, ils ne sont que la troisième clientèle.
Ce qui séduit encore et toujours les Britanniques en France, c’est son art de vivre (66%) ou son climat (59%) même si sur ce dernier créneau elle ne peut rivaliser avec l’Espagne qui séduit 78% des sondés. En revanche, la France se démarque pour ses prix de l’immobilier attractifs (3e critère de choix cité par 40% des sondés) tout comme elle se détache comme étant à la traîne en matière de coût de la vie (ce critère attire en France 27% des sondés alors que la moyenne des destinations européennes est à 37%).
On note également que les britanniques qui choisissent la France, y consacrent un budget plus élevé que pour d’autres destinations européennes. Ils sont 30% à y consacrer plus de 200.000 euros contre 22% en moyenne dans la zone euro.
(Source : Le Figaro)
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